Ce n'est pas un hasard si j'ai choisi une photographie de Marilyn lisant Miller sur mon profil. Depuis toujours, j'aime cette femme tout en contrastes, insaisissable, son sourire au bord des larmes, sa sensibilité d'écorchée, la belle niaiseuse lisant et écrivant ses poèmes.
Je n'ai pas lu ses Fragments mais je le ferai sûrement. En revanche, j'avais avalé Blonde de Joyce Carol OATES, un magnifique récit qui rend compte de la fragilité et de l'innocence de Norma Jean, écrit avec brio.
Pour finir, une citation de l'écrivain Miller que j'aime particuièrement :
"Pour survivre, il aurait fallu qu'elle soit plus cynique ou du moins plus proche de la réalité. Au lieu de cela, elle était un poète au coin de la rue essayant de réciter ses vers à une foule qui lui arrachait ses vêtements". Arthur MILLER
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